Evénements

Un Congrès International sur : Le nouveau modèle de développement : Un nouveau défi pour une relance socio-économique au Maroc

2021-11-25 2021-11-26


Université Mohammed 1er Oujda

La Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales OUJDA

Et

Le Centre d’Etudes et de Recherche Humaines et Sociales d’Oujda (CERHSO) et Le Centre Marocain de Recherches et Etudes en Sciences

Sociales « CEMARESS »

Organisent

Un Congrès International sur :

« Le nouveau modèle de développement : Un nouveau défi pour une relance socio- économique au Maroc »

Oujda, 25 et 26 Novembre 2021

Argumentaire :

Depuis plusieurs années, le concept de développement n’a cessé de s’enrichir et de se raffiner, mais les politiques adoptées en sa faveur sont en crise. De son côté, le Maroc, s’inscrivant dans la dynamique inhérente à la mondialisation, éprouve fortement le besoin d’une relance, mais le scepticisme l’emporte s’agissant des résultats que l’on peut en attendre.

La mise en œuvre du Nouveau modèle de développement est le plus grand défi à relever par l’ensemble des parties prenantes qui sont appelées à s’approprier les nouvelles orientations. L’enjeu est d’opérer une véritable rupture avec les pratiques précédentes et de favoriser la convergence des politiques publiques, comme le laisse entendre le président de la Commission spéciale sur le modèle de développement (CSMD), Chakib BENMOUSSA. Une grande responsabilité incombe, à cet égard, à l’acteur politique qui devra donner forme aux nouvelles recommandations.

La mise en œuvre du Nouveau modèle de développement nécessite « un pilotage en mesure de créer les conditions d’appropriation par toutes les parties prenantes et d’assurer un suivi des réalisations ».

Ce modèle s’inscrira dans une nouvelle ambition pour le pays et serait le cadre global de cohérence et de synergie entre l’ensemble des acteurs et le cadre de définition des priorités stratégiques qui encadrent l’allocation des ressources. Il se focaliserait sur les choix fondamentaux de développement, socle commun à l’ensemble de la Nation pour laisser place à la pluralité des choix partisans de déploiement des politiques publiques.

Le Nouveau modèle de développement s’appuie sur quatre axes stratégiques : une économie productive, diversifiée, créatrice de valeur ajoutée et d’emplois de qualité, un capital humain renforcé et mieux préparé pour l’avenir, des opportunités d’inclusion pour tous et un lien social consolidé ainsi que des territoires résilients, lieux d’ancrage du développement. Les nouvelles orientations fixent aussi des choix stratégiques importants qui devront enclencher la transformation du modèle de développement, à commencer par le chantier du numérique. L’appareil administratif devra aussi subir de grandes transformations et miser sur les compétences et le changement des mentalités en vue de mieux servir les citoyens et favoriser la transparence. La contribution des Marocains du monde est aussi prise en considération.

Puisque le post-Covid-19 demeure encore incertain, il est naturellement porteur de nouvelles opportunités économiques et sociales. Dans ce contexte, le modèle aura une contribution majeure pour constituer un Etat fort, et protecteur, capable de remédier aux vulnérabilités sanitaires, économiques et sociales du pays.

L’enjeu du Maroc de demain est donc d’opérer une véritable rupture non plus seulement avec l’ancien modèle de développement qui a montré ses limites, mais surtout avec les mauvaises pratiques qui minent, jusque-là, l’essor du pays.

Cette manifestation scientifique vise à créer un espace d’échanges, de réflexions, et de débats entre chercheurs et professionnels, sur les différentes facettes du nouveau modèle de développement pour le Maroc et sa mise en œuvre, dans plusieurs domaines. Ce congrès a pour but :

  • D’étudier les politiques économiques, sociales et démontrer l’apport de cette relance ou le Maroc s’inscrit avec rigueur dans plusieurs domaines à savoir, l’humain, le social, l’économique, le digital d’une part, et son impact sur le développement national et la qualité de vie du citoyen d’une autre part.
  • Faire intervenir plusieurs spécialistes pour alimenter le débat autour de l’impact d’un développement durable ;
  • Présenter des pratiques innovantes par le nouveau modèle ;

Sans vouloir dresser une liste exhaustive, les communications peuvent s’inscrire dans la liste des axes suivants :

  • L’entreprenariat, et la transformation productive
  • Compétitivité, attractivité et intelligence territoriale
  • Le Marché des Capitaux
  • Capital Humain, employabilité et compétences
  • L’économie sociale et solidaire
  • Inclusion et protection sociales
  • Gouvernance et efficacité de l’administration publique
  • Financement et fiscalité
  • Le numérique levier de la transformation
  • La réforme du système de santé
  • L’intelligence économique
Coordonnateurs du congrès
  • Hicham BELMAATI, Institut National de l’Action Sociale-Tanger
  • Abdelilah EL ATTAR, Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales d’Oujda
  • Youssef MAZOUZ, Centre Marocain de Recherches et Etudes en Sciences Sociales « CEMARESS »
  • Mohammed AMINE HAFIANE, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda

Comité scientifique

  • ABDELILAH EL ATTAR, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda Maroc
  • ABDELKADER EL OUDRI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda Maroc
  • ABAKOUY Mostafa, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Tanger, Maroc.
  • ABDELLATIF CHAKOR, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
  • ABDELOUAHED BERRICHI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda Maroc
  • ABDERRAZAK EL HIRI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès Maroc
  • ADIL BOULAHOUAL, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Casablanca, Maroc
  • ADIL ELMARHOUM, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales Agdal de Rabat, Maroc
  • AMINE DAFIR, Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Ain Sebaa Casablanca, Maroc
  • BOUCHRA TAOUFIK, Directrice de l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
  • CHAFIK BAKOUR, Professeur-chercheur à l’ENCG de Tanger
  • CHAKIB NEJJARI, Président de l’université Med VI des sciences de la santé de Casablanca
  • DRISS ABBADI, Doyen de la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Ain Sebaa Casablanca, Maroc
  • El MEHDI FERROUHI, Professeur-Chercheur à l’Université Ibn Tofail de Kénitra, Maroc
  • FARID ELBACHA, Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques Economiques et Sociales Agdal de Rabat, Maroc
  • FOUZIA MAJIDI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda Maroc
  • GHIZLANE SALAM, Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Ain Sebaa Casablanca, Maroc
  • HAMID SAMAKI, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
  • HASNAA GABER, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Casablanca, Maroc
  • HASSAN GHAZAL, Professeur-Chercheur à université Med VI des sciences de la santé de Casablanca, Maroc
  • HICHAM ATTOUCH, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
  • HICHAM BELMAATI, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
  • HOURENATOU, Professeur-Chercheur à l’université de Ngaoundéré, Cameroun
  • KHALID FIKRI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda Maroc
  • LAHCEN OUBDI, Professeur-Chercheur à l’ENCG d’Agadir, Maroc
  • LOTFI LEMRAJNI, Professeur-Chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Souissi, Université Mohammed V de Rabat, Maroc
  • LOTFI BENAZZOU, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion de Kenitra, Maroc
  • MOHAMED ACHRAF NAFZAOUI, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Kenitra, Maroc
  • MOHAMED BELAFHAILI, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
  • MOHAMED HAICHAR, Professeur-Chercheur à l’Ecole Alhassania Des Travaux Publics de Casablanca, Maroc
  • MOUNIA SLIMANE, Professeur-Chercheur à l’Université Ibn Tofail de Kénitra, Maroc
  • NAJIB ALIDRISSI, Professeur-Chercheur à l’Université Mohammed VI Des Sciences De La Santé de Casablanca, Maroc
  • OMAR ZAHRAOUI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda Maroc
  • RACHID HASNAOUI, Professeur-Chercheur à l’Université Ibn Tofail de Kénitra, Maroc
  • REDOUANE BENABDELOUAHED, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II, Casablanca
  • RIDHA CHKOUNDALI, Université de Carthage, Tunisie
  • SAID BALHAJ, Professeur-Chercheur à l’ENCG de Tanger, Maroc
  • SIHAM JABRAOUI, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale De Commerce et de Gestion Casablanca, Maroc
  • TAOUFIK BENKARAACHE, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
  • TOURIA HOUSSAM, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
  • YASSINE REGRAGUI, Professeur-Chercheur à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Casablanca, Maroc
  • ZAKARIA FIRANO, Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Agdal de Rabat, Maroc
  • ZINEB DRISSI, Professeur-chercheur à l’ENCG de Fès
  • ZINEB OUAZZANI TOUHAMI, Professeur-Chercheur à l’Institut Supérieur des Professions Infirmières et Techniques de Santé, Rabat, Maroc
Comité d’organisation
  • ABDELOUAHED BERRICHI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • ABDELMALEK BEKKAOUI,       Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • AMINE DAFIR, Professeur-Chercheur à la Faculté Des Sciences Juridiques Economiques Et Sociales Ain Sbaa, Maroc
  • BOUCHRA OUARRAOUI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • FATIMA-EZZAHRAE MAJIDI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • HAMID SAMAKI, Professeur-Chercheur à l’Institut National de l’Action Sociale de Tanger, Maroc
  • HICHAM SABER, Docteur en droit, Professeur Visiteur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • KHALID FIKRI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • MOHAMMED BOUAZZA, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • MOHAMED BELAFHAILI, Professeur-Chercheur à l’Université Hassan II de Casablanca, Maroc
  • MOHAMMED EDDAOU, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • NAOUAL BENAINI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc
  • NABIL EL MOUSSALI, Professeur-Chercheur à la Faculté des sciences Juridiques économiques et Sociales, Université Mohammed Premier d’Oujda, Maroc

Parrainage

  • Département des sciences de Gestion-FSJESO
  • Laboratoire Universitaire de Recherche en Instrumentation et Gestion des Organisations (LURIGOR)- FSJESO
  • Centre de Recherche et de Développement de l’Oriental
  • Centre Marocain de Recherches et Etudes en Sciences Sociales(CEMARESS)

Partenaires

  • Centre Marocain de Réflexion et de Développement
  • Université Mohammed V Rabat
  • Université Mohammed VI des sciences de la santé, Casablanca
  • Revue Dossiers de Recherches en Economie et Gestion
  • Revue JOSSOM
  • Organisation Stratégique d'Appui au Développement Economique et Social (OSADES)
  • CGEM Oriental
  • Centre Régional de l’Investissement (Oriental)
  • Association des Femmes entrepreneurs Marocaines
  • Laboratoire LARMODAD, FSJES Souissi, Rabat
Calendrier
  • 20 Septembre 2021 : Date limite de réception des propositions de communication (texte complet)
  • 10 Octobre 2021 : Réponse du comité scientifique
  • 10 Novembre 2021 : Réception des textes définitifs
  • 25, 26 Novembre 2021 : déroulement du congrès

Soumission

  1. Pour toute proposition de communication (texte complet), l’intervenant doit remplir le formulaire de soumission au congrès via le lien suivant : https://my.forms.app/form/612bb856bd6e4f7f3a7f686d

NB : l’auteur et les co-auteurs doivent remplir le formulaire de soumission au congrès.

  1. Les propositions de communication doivent être envoyées sous format Word, et comporteront:
  • Un titre en français, en arabe ou en anglais
  • Un résumé en français, en arabe ou en anglais (500 caractères maximum, espaces compris)
  • Prénom et nom de l’auteur-e ou des auteur-e-s (avec l’indication de son/leur rattachement institutionnel et adresse électronique)
  • Les articles soumis doivent être rédigés en français, en arabe ou en anglais
  • Mots-clés : 5 à 7 « mots-clés »

Les meilleures communications du congrès feront l’objet d’une publication dans la revue : Dossiers de Recherches en Economie et Gestion.

INFORMATIONS ET RENSEIGNEMENTS :

Pour plus d'informations sur le congrès, vous êtes invités à contacter le comité d'organisation directement via : Congrèsoujda2021@gmail.com